Didier de Lannoy
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Le mariage de Guillaume de Nassau et de Stéphanie de Lannoy, etali biso te !
(depuis
le 26 septembre 2012 jusqu'...
à Amaury Zinga-Botao qui m'a
- Ye moko ayebi ! Ce sauvetage vaut bien une dédicace, non ?
tiré d'un bien mauvais pas...)
à Amaury Zinga-Botao qui m'a
- Ye moko ayebi ! Ce sauvetage vaut bien une dédicace, non ?
tiré d'un bien mauvais pas...)
Je
lis l'entrefilet suivant (signé A.-L.N. et titré « le crise
touche le mariage princier ») dans TV News, n°32, programme du
mercredi 26 septembre 2012 : « Après l'avoir annoncé,
France 2 ne diffusera finalement pas le mariage du prince Guillaume
de Nassau, grand-duc héritier du Luxembourg, avec la comtesse belge
Stéphanie de Lannoy. Cette décision a été prise en raison de
restrictions budgétaires. La retransmission de cette union aurait
coûté entre 250.000 et 400.000 euros, soit autant que le mariage
monégasque ou britannique, pour une audience certainement moins
importante ».
Nabiki ! J'ai eu chaud !
J'aurais été interpellé, apostrophé, mis en demeure, sommé de rendre des comptes.
J'aurais dû me justifier et
- Etali biso teeeeeeee!
expliquer à tout le monde... aux amis(e)s, aux frères et soeurs, aux camarades, aux compagnes et compagnons de lutte, à mes collègues de l'Université de Makala, à Achille et à André, à Vince, à Fossoyeur Jones, à Finasser, à Bibish et à Papy... aux voisin(e)s, aux commerçant(e)s du quartier, aux badauds et aux curieux... aux agents de la Direction Générale des Migrations et de l'Office des Etrangers, aux contrôleurs fiscaux... aux anciens "commissaires de zone et présidents sectionnaires du MPR, Parti-Etat" et aux échevins et préposés de l'Etat civil et de la Population de Kalamu, de Kasa-Vubu et de la Gombe... aux indiscrets, aux envieux et aux jaloux, aux "bouches" et aux vipérin(e)s, aux médisant(e)s et aux malveillant(e)s... aux rédacteurs de rubriques nécrologiques, aux obsédés de darwinisme et
- On ne descend pas du même arbre !
aux fondus de la génétique ou de la généalogie, aux agités du dictionnaire des noms propres... que mon ex-épouse, mon épouse actuelle, mes filles, belles-filles et
- Elles s'appellent toutes Denise (alias la Mère-chef), Ana (alias Mwana Danzé), Hortense, Nadine, Alice, Clémy, Malika, Sukina, Tensia, Maëlle, Nyssia ou Loïle... Aucune d'entre elles ne se prénomme Stéphanie !
petites-filles n'avaient rien à voir avec ce "mariage télévisé" et/ou téléchargeable et/ou postable sur Youtube et/ou suivable sur Twitter ou Weibo (les seuls types de mariage qui comptent encore, pour "de vrai", en ce début du XXIe siècle, dans les milieux du cirque et du show-business, chez les vedettes du grand-guignol, du burlesque et des émissions de "télé-réalité"... ou chez les "it girls" qui n'existent que pour apparaître, courtisent les paparazzi de la presse pipole et les invitent à ne pas respecter leur vie privée, cherchent à être visionnées sur le net, sont friandes de commentaires, de photos indiscrètes ou de vidéos volées et n'ont aucun projet de société ou même de carrière... si ce n'est de faire le buzz sur les réseaux sociaux), cette "performance" ou cette "caleçonnade", que ce n'était pas du tout
- Absolument pas ! Jamais ! Naboyi na ngai !
- Tout au plus serions-nous une branche bâtarde de la famille ?
- Même pas !
- Ou alors appartiendrions-nous à une lignée de paysans qui, à l'occasion de la Révolution française ou de la lutte pour l'Indépendance, auraient renversé une clique de possédants (seigneurs ou colons) et se seraient approprié le patronyme de leurs exploiteurs ?
- Ce serait trop beau !
Nabiki ! J'ai eu chaud !
J'aurais été interpellé, apostrophé, mis en demeure, sommé de rendre des comptes.
J'aurais dû me justifier et
- Etali biso teeeeeeee!
expliquer à tout le monde... aux amis(e)s, aux frères et soeurs, aux camarades, aux compagnes et compagnons de lutte, à mes collègues de l'Université de Makala, à Achille et à André, à Vince, à Fossoyeur Jones, à Finasser, à Bibish et à Papy... aux voisin(e)s, aux commerçant(e)s du quartier, aux badauds et aux curieux... aux agents de la Direction Générale des Migrations et de l'Office des Etrangers, aux contrôleurs fiscaux... aux anciens "commissaires de zone et présidents sectionnaires du MPR, Parti-Etat" et aux échevins et préposés de l'Etat civil et de la Population de Kalamu, de Kasa-Vubu et de la Gombe... aux indiscrets, aux envieux et aux jaloux, aux "bouches" et aux vipérin(e)s, aux médisant(e)s et aux malveillant(e)s... aux rédacteurs de rubriques nécrologiques, aux obsédés de darwinisme et
- On ne descend pas du même arbre !
aux fondus de la génétique ou de la généalogie, aux agités du dictionnaire des noms propres... que mon ex-épouse, mon épouse actuelle, mes filles, belles-filles et
- Elles s'appellent toutes Denise (alias la Mère-chef), Ana (alias Mwana Danzé), Hortense, Nadine, Alice, Clémy, Malika, Sukina, Tensia, Maëlle, Nyssia ou Loïle... Aucune d'entre elles ne se prénomme Stéphanie !
petites-filles n'avaient rien à voir avec ce "mariage télévisé" et/ou téléchargeable et/ou postable sur Youtube et/ou suivable sur Twitter ou Weibo (les seuls types de mariage qui comptent encore, pour "de vrai", en ce début du XXIe siècle, dans les milieux du cirque et du show-business, chez les vedettes du grand-guignol, du burlesque et des émissions de "télé-réalité"... ou chez les "it girls" qui n'existent que pour apparaître, courtisent les paparazzi de la presse pipole et les invitent à ne pas respecter leur vie privée, cherchent à être visionnées sur le net, sont friandes de commentaires, de photos indiscrètes ou de vidéos volées et n'ont aucun projet de société ou même de carrière... si ce n'est de faire le buzz sur les réseaux sociaux), cette "performance" ou cette "caleçonnade", que ce n'était pas du tout
- Absolument pas ! Jamais ! Naboyi na ngai !
- Tout au plus serions-nous une branche bâtarde de la famille ?
- Même pas !
- Ou alors appartiendrions-nous à une lignée de paysans qui, à l'occasion de la Révolution française ou de la lutte pour l'Indépendance, auraient renversé une clique de possédants (seigneurs ou colons) et se seraient approprié le patronyme de leurs exploiteurs ?
- Ce serait trop beau !
la
même famille...
J'avais trop la whonte ! Je risquais d'être aradjicalema déshonoré !
J'avais trop la whonte ! Je risquais d'être aradjicalema déshonoré !