samedi 20 février 2016

Signature automatique 33 : Et ton « roman », Vié, ça avance ? Et de qui ça cause à présent ? Il y a des changements, de nouveaux visages ?








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ddl alias Vié ba Diamba

Et ton « ouvrage », Vié, le prétendu roman que tu as mis sur le métier depuis... depuis quand encore ?
Depuis le 16 décembre 2013 !
Et ça avance, Vié ? Où en est-il à présent, ton roman-guérilla, ton tonneau du villageois ?
Toujours en cours ! Et je ne démordrai jamais ! Tiiii la libération de Mopoie et de Bangazegino... et du Luabongo !!

Et quels sont aujourd’hui les acteurs de ton buku, Vié ? Des changements sont intervenus, de nouveaux visages sont apparus ?
Quelques nouveaux (et interchangeables) sorciers ont bien été nommés par la Haute Hiérarchie... Tandis que de nouvelles voix se sont fait entendre et qu'un peuple tout entier commence à se lever, de plus en plus souvent et de plus en plus hardiment, contre l'arbitraire et la dictature !, mais, jusqu'à présent, les personnages principaux du roman restent en place et la capacité de nuisance des sorciers, des « services » et des crapuleux demeure inchangée  : http://ssc-2.blogspot.be/2015/01/un-roman-guerilla-ou-le-tonneau-dun.html

Et comment toute cette histoire va-t-elle bien pouvoir se terminer, Vié ?
Par la suppression du système sorcier qui opprime le peuple du Luabongo depuis… le fin du XIXème siècle ! Il n'y a pas d'autre issue possible ! http://ssc-8.blogspot.be/2016/02/scc82-1-les-metamorphoses-successives.html

Et c’est prévu pour quand, Vié ?
C’est le peuple du Luabongo qui en décidera ! Je ne suis qu'un taxi-writer, je vais où les acteurs du changement me font aller et je me contente de rendre compte ! Mais beaucoup pensent  qu'un levain naturel, spontané, irréversible et irrépressible agite désormais l'ensemble de la société luabongaise et qu'il se produira nécessairement "quelque chose" d’ici la fin 2016 ! http://ssc-8.blogspot.be/2015/12/ssc-83-bonne-annee-2016-de-resistance.html




mardi 16 février 2016

Signature automatique 32 : Où j'en suis maintenant


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ddl alias Vié ba Diamba

Où j’en suis maintenant ?
Comme prévu (http://ssc-8.blogspot.be/2015/12/ssc-83-bonne-annee-2016-de-resistance.html) je mets la dernière main à certaines séquences inachevées de mon buku « Sorciers, services et crapuleux », j’actualise les séquences déjà postées et je raconte comment, durant toute l’année 2016 (le mouvement ne pouvant ensuite que s’intensifier, s’approfondir, s’enraciner davantage et devenir irréversible), le peuple du Luabongo combattra l’autocratie, reprendra l’initiative, interpellera...
- Yebela, Mandat esili ! Eloko nini esilakate  ? 
la Haute Hiérarchie et viendra à bout du dernier avatar d’un « système sorcier »  qui l’opprime depuis…  depuis… depuis la fin du XIXe siècle : http://sosecra.blogspot.be/


vendredi 12 février 2016

Signature automatique 31 : Obstinément ! Et des lecteurs rechignent...








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ddl alias Vié ba Diamba

A quoi je m’occupe ? A rien ?
A ça, depuis plus le 16 décembre 2013 : http://sosecra.blogspot.be/
Obstinément ! Sans jamais démordre !
Et, comme prévu, inconfortisés ou dérangés dans leurs habitudes de consommation, des lecteurs se lassent, rechignent  (ainsi que je l'avais annoncé, il y déjà longtemps, dans la séquence SCC3/28 de mon roman :  http://ssc-3.blogspot.be/2015/02/on-nen-peut-plus-dattendre-on-se.html) se plaignent d'être submergés et me le font savoir…

 « Et un auteur qui n'est plus le maître de son roman, ça les fait flipper: les lecteurs-consommateurs-clients ont besoin d'être dirigés par une main ferme. Et un roman qui tire en longueur et se traîne lamentablement et dont la fin est sans cesse reportée et remise à une séquence ultérieure, ça les fait chier disent-ils : "Ces atermoiements nous ennuient à périr ! Tokosuka wapi ? Jusqu'où irons-nous finalement ? Comment cette histoire va-t-elle se terminer et se terminera-t-elle jamais ? Vous semblez avoir perdu le contrôle de la situation, Vié ba Diamba ! Il semblerait même que vous ayez été jeté à bas de votre monture! Relevez-vous, que diable, remontez vite en selle et reprenez les rênes avec autorité ! Cessez de nous faire languir ! Et ne vous laissez plus jamais guider par votre cheval !"
« Cette fin de mon roman, toujours inachevée, toujours rapportée, toujours ajournée, toujours notifiée et systématiquement reportée, toujours annoncée et systématiquement annulée, différée, retardée, suspendue, remise à plus tard ou à jamais, cette suite sans fin, cette fin qui ne finit pas me débecte et me donne une furieuse envie de débagouler : vomir et proférer !  (...)
" Ça suffit. Ça ne peut pas continuer comme ça.
" Vivement qu'on libère Mopoie et Bangazegino ! Et que puisse s'achèver mon roman (…)
« Et que la République autocratique du Luabongo se débarrasse du système sorcier qui l'entrave depuis si longtemps, un système caractérisé  par l'opacité du processus de prise de décisions, une gestion sécuritaire, sans vision, sans protection sociale…
- Nzambe ekosala ?
de la population, sans objectif autre que celui de l'enrichissement personnel d'une caste, d'une coterie ou d'une bande mafieuse de dirigeants autoproclamés ou (mal) « élus », la corruption, les marchandages et la constitution de clientèles, l'indifférence aux attentes légitimes de la population, le totalitarisme ou l'absence d'un véritable contrôle démocratique et d'une sanction positive ou négative de la gestion de la chose publique. »







jeudi 4 février 2016

Signature automatique 30 : Pourquoi les prédateurs ne sont pas de bons capitalistes





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ddl alias Vié ba Diamba

Le Tout-Puissant Marché considérant la Haute-Hiérarchie, ses sorciers, ses « services » et ses crapuleux comme « une bande de péquenots rapaces et sans ambitions, de villageois âpres et ringards, de minables dealers de banlieue », je me pose la question de savoir pourquoi  les grands prédateurs de nos savanes, de nos forêts, de nos villes et de nos mines, indifférents aux problèmes du "petit peuple" et sourds à ses revendications légitimes... Des babola et des fumeurs de chanvre, des chômeurs et des mpiakeurs (disent-ils), des cultivatrices à la houe, des pêcheurs au filet (ou à la moustiquaire imprégrée d'instecticide offerte par la Banque mondiale ou l'Unicef, ricanent-ils), des portefaix et des pousse-pousseurs, des creuseurs et des casseuses de pierres (dédaignent-ils),  des passeurs de flaques d'eau et des réparateurs de n'importe quoi (se gaussent-ils), des "batu wana", des "batu ya pamba-pamba" (raillent-ils encore) !,  qui leur donnent des boutons, de la fièvre et de l'hypertension, ne sont pas pour autant devenus de "bons capitalistes", choyés par les multinationales du monde entier ?

Parce qu’ils s’empressent de dévorer
- Sur le champ, là même où ils les ont massacrés !
leurs  gibiers pour récupérer... A juste titre (disent-ils, en soufflant, comme après une partie de squash ou de jambe en l'air) !,  l’énergie qu'ils ont dépensée pour les capturer et les saigner ? Parce qu'ils pillent, chassent, cueillent, prélèvent, couillonnent, rackettent, ponctionnent, gloutonnent mais ne cuisinent pas, n’accumulent pas, ne thésaurisent pas, ne partagent rien avec personne... Ata yo moko, vous ne voudriez quand même pas (s'esclaffent-ils) !, et ne redistribuent aucun surplus ? Parce que la tuerie des proies et la consommation de leurs cadavres sont des actes de domination qui nient l’existence des autres êtres vivants ?  Parce que les proies, ainsi dévorées et rongées jusqu’à l’os, ne peuvent plus être dupliquées, répétées, produites en série et mises à la chaîne ou à la charrue ?  Parce que la consommation effrénée
- Sans cuisson ! Sans épices ni légumes ! Sans manières ni respect ! Ogrement ! Sans même enterrer décemment les restes des victimes (les carcasses et les os qui n'auront pu être broyés) et se contentant de les jeter dans le fleuve ou de les encaquer dans un charnier !
de viande crue est mauvaise pour la santé des briffauds eux-mêmes (provoquant des crises de goutte et engendrant de multiples complications dentaires, cardio-vasculaires ou cancéreuses), fait obstacle à la cohabitation harmonieuse (libre, égale et fraternelle) des espèces, des genres et des groupes sociaux et rend impossible toute vie en société ?
  Parce que les prédateurs ne se brossent jamais les dents et qu’ils puent de la gueule et qu’on les sent venir de loin que tout le monde s’enfuit... ou prend le maquis, s'insurge et organise la résistance ?
Voilà pourquoi le caca, le pipi, le capitalisme, ça ne fonctionne pas bien chez nos grands prédateurs et que le Tout-Puissant marché hésite à les adouber ?

Voilà pourquoi la Sosecra est une entreprise malfaisante ! Cliquez sur : http://sosecra.blogspot.be/
Voilà pourquoi aussi  Vieux Condor et Lédenté, deux anciens amis (qui s'étaient éloignés l'un de l'autre, se battaient froid et se tiraient la gueule) doivent à présent se retrouver :  pour chasser les grands prédateurs, désormais aux abois !
Cliquez sur : 
http://ssc-8.blogspot.be/2015/11/test.html

Bakolela na munoko ya mboka ! Bango nionso ! La Haute Hiérarchie, ses sorciers, ses "services" et ses crapuleux !
Emportés tous par une clameur, un grondement, un soulèvement-rire irrépressible et libératoire de l'ensemble de la population...