Vié ba Diamba, alias ddl
Depuis quelques temps, je fais mine de batailler ferme contre des dieux antiques et fainéants et d’en repousser victorieusement les assauts : le grec Pancréas et Ren le romain... alors même que l'agent spécial A.Z. est déjà dans la place !
La littérature, ça ne
sert à rien... sauf peut-être à ceci : contrarier ou, plus exactement, retarder
l'avancée inexorable (et le triomphe inéluctable) de l'envahisseur.
Vous voulez savoir quel
est le foutu texte qui m'occupe actuellement (et que je retravaille tous les
jours pour maintenir mes neurones en activité) ? Cliquez sur :
J'écris pour m'exercer
à retrouver des mots et des noms ! Et, pour ce faire, je n'ai besoin ni
d'éditeur, ni de lecteur... mais si l'un ou l'autre de mes correspondants me
faisait part de ses observations, critiques ou commentaires, cela me
permettrait sans doute de savoir où j'en suis (quand je commence à perdre le contrôle, quand il
est temps de décrocher...) et si je suis encore capable d'égayer l'un et de
contrarier l'autre et de mystifier tout le monde, non ?